mercredi 11 juillet 2007

La chasse au Yéti

Sept ans au Tibet, le dernier film du réalisateur Jean-Jacques Annaud, à qui l'on doit notamment La guerre du feu et L'ours, est sur les écrans en cette fin d'année 1997. Inspiré du récit autobiographique de l'alpiniste autrichien Heinrich Harrer, il raconte comment ce dernier, en compagnie de Peter Aufschnaiter, s'évada du camp de Dehra Dun (nord de l'Inde), où il était détenu depuis le début de la guerre de 40, alors qu'ils tentaient l'ascension du Nanga Parbat (un des "8000"). Parvenu au Tibet, Harrer finit par s'installer à Lhassa, la capitale, où il devint le précepteur du dalai-lama, jusqu'à l'invasion du pays par les communistes chinois en 1950.
En marge de cette aventure humaine, une anecdote survenue en 1944 se doit d'être mentionnée ici. Comme le rapporta Heinrich Harrer lui-même :

"Une fois, à la lisière de la forêt, je vis sur la neige fraîche des traces de pas que je ne reconnus pas, et qui auraient pu être faites par un homme."

l est vraisemblable qu'il s'agissait là des traces de pas de l'homme sauvage local, appelé notamment migö, sur lequel divers auteurs (dont Alexandra David-Néel) ont rassemblé quantité d'informations.
Curieusement, ce passage sur des traces de pas inconnues, cité notamment par Carlo Graffigna (1962), ne se trouve pas dans le livre de Heinrich Harrer Sept ans d'aventures au Tibet (1952), mais nous n'avons pas pu vérifier la version originale allemande Sieben Jahre in Tibet. Ce qui est certain, c'est qu'on doit à Peter Aufschnaiter (1972), compagnon de cordée et d'infortune de Harrer, un intéressant article sur le mitre, un des noms donnés au Tibet à l'Homme-des-Neiges.

Pour en savoir plus :

AUFSCHNAITER, Peter
1972 Once more : the Yeti. East and West, 22
[n° 1-20] : 115-117 (March-June).

DAVID-NÉEL, Alexandra
1954 Les "abominables hommes des neiges". France-Asie, 10
[n° 95-96] : 564-570.

GRAFFIGNA, Carlo
1962 Storia e mito dell' Uomo delle Nevi. Milano, Giangiacomo Feltrinelli.

HARRER, Heinrich
1952 Sept ans d'aventures au Tibet. Paris, Arthaud.

Un visage Cachez de la guerre...

The National Socialist Party of Adolf Hitler gained 17,300,000 votes in the election and gained 288 seats in the Reichstag. On 30 January 1933 Hitler was legally appointed Chancellor.

On that same day, 24 March 1933, on the front page of the London Daily Express appeared the main headlines: "Judaea declares war on Germany: Jews of all the world unite", and followed with:

'The Israelite people of the entire world declare economic and financial war on Germany. The appearance of the Swastika as the symbol of the new Germany revives the old war symbol of the Jews. Fourteen million Jews stand as one body to declare war on Germany. The Jewish wholesale dealer leaves his business, the banker his bank, the shopkeeper his shop, the beggar his miserable hut in order to combine forces in the holy war against Hitler's people.'
The German government was removing Jews from influential positions and transferring power back to the German people. This declaration of war by the Jews on Germany was repeated throughout the world. The first boycott of Jewish business concerns came after this Jewish declaration of war in April 1933.

Judea Declares War : This video examines the reasons why National Socialism came to power, the role of the world's jews declaring war on Germany, with a healthy helping of solid revisionist research on some of the lies surrounding the "holocaust" fraud.

A paradise lost...

  • Between 1933 and 1939, the marriage rate had increased by 9.2%
  • Hitler turned around an economy
  • Hitler set up a health insurance scheme for all Germans that only cost 10 cents per person per day that would fund the whole health sector. People paid for what they used, hence no one could complain about
    unfair taxes.
  • Nazi Germany was one of the only countries not to deny women the right to vote during war time
  • Hitler enacted the first laws to protect animals from cruelty which afforded them protection in line with what humans received, this law existed till
    the late 1970's till it was renamed in an effort
    to de-Nazify Germany
  • Nazi Germany provided unlimited money towards an alternative fuel source other than oil by investing in synthetic petrol and electric
    power generation
  • Hitler also invested in anti-gravity theories.
  • Hitler invested heavily into rocket technology, the A-10 rocket was used as the basis for the launch of
    the Sputnic satellite after WW2
  • Outlawed medical experimentation on animals.
  • He undertook a war against the Communist horde that no major power in the world would do, or has done yet by the way.
  • He put the power of the state in the hands of an all German state instead of the Jews.
  • His Nazi party was one of the first to start a war on cancer.
  • Under his leadership the first blood tests were given to drivers that were under the influence of Alcohol.
  • The party, under Hitler's command, encouraged family morals, motherhood, fatherhood, respect and honor.
  • Hitler was actually a believer in women's rights and wanted to help abused and disenfranchised women. Hence the motherhood programs came into place.
  • He was an environmentalist seeking to protect nature clean air, water.
  • Brave and decorated soldier of WW1
  • Artist, lover of the Arts, both Classical music and Architecture.
  • He envisioned the Autobahn and Volkswagen.
  • Gave the German workers the first May Day.
  • Under "Strength Through Joy" gave paid vacation trips to workers.

    • Un paradis perdu ,ce sont quelqu'un des centeine de lois que Hitler a mit dans le parti nazi , que aujourd'hui plusieur nation ou on bannis le mots "nazi" et on bannis le changement de l'histoires on les lois de Hitler , par exemple au Canada :
    • - Protection des animeaux (mise apart le Quebec qui on une lois mais non oubligatoire )
    • - Assurence maladie pour tout le monde ( 100% gratuit ,sauf pour certain médicament non couvert )
    • - Alco-test
    • - Permi de conduire
    • Et bien encore, vous aimez pas les nazies ? Pourquoi vous vivez dans le monde de Hitler?

Le dernier,mais aussi le futur


... si le sous-marin type XVII s'avéra un échec, et sa turbine Walther un flop plus retentissant encore, son étude hydrodynamique, en revanche, préfigurait tous les submersibles d'aujourd'hui.

Pour la première fois, les ingénieurs s'étaient véritablement attachés à concevoir la coque la plus rapide possible en plongée, supprimant tout l'armement monté sur le pont, et transformant en fine nageoire la protubérante dunette d'autrefois.

Et puisque le développement de la turbine Walther menaçait de durer de longues années, sans que l'on puisse pour autant en garantir le succès final, on songea, dès le début de 1943, à adapter cette excellente étude hydrodynamique aux sous-marins "classiques", à propulsion diesel/électrique.

Mais pour doubler la vitesse en plongée avec cette seule source d'énergie, il ne suffisait pas de réaliser une coque simplement mieux profilée. Il fallait aussi tripler la capacité des batteries, ce qui imposait donc de construire un bâtiment deux fois plus gros que les traditionnels type VIIC de 800 tonnes.

L'expérience des combats ayant démontré que la recharge des quatre tubes des VIIC prenait près de 10 minutes, leur nombre fut porté à six, et un système de rechargement automatique installé. Bien entendu, le Schnorchel était de la partie, ainsi qu'une multitude de perfectionnements du temps de guerre.

Ainsi naquit le célèbre "type XXI", que l'amiral Dönitz prévoyait de mettre en service dès novembre 1944, et qu'Albert Speer, Ministre de l'Armement, espérait bien construire à raison d'une vingtaine d'exemplaires par mois...

Il se trompait de beaucoup



... Premier sous-marin véritablement moderne, le type XXI aurait pu redonner à l'Allemagne un avantage décisif dans la bataille de l'Atlantique. Hélas, comme souvent, cet engin finalement réaliste ne rencontrait pas les faveurs du Führer, lequel préférait de loin rêver à des "armes miracles" certes plus impressionnantes sur le papier, mais situées à l'extrême limite - et souvent au delà - des possibilités techniques de l'époque.

Dans cet étrange mélange d'efficacité germanique et de gabegie hitlérienne, la construction des types VIIC, désormais obsolètes, fut poursuivie sur ses bases habituelles, tandis que celle des révolutionnaires type XXI fut carrément confiée à de la main d'oeuvre dite "diluée", c-à-d composée d'une poignée d'ouvriers spécialisés encadrant vieillards, femmes et travailleurs déportés (!)

A la capitulation de l'Allemagne, en mai 1945, seuls cinq ou six type XXI avaient pu être terminés, et seul le U-2511 entra en service... une semaine avant la fin de la guerre. Se dérobant sans difficultés aux escadres de contre-torpilleurs alliés, il exécuta, sans être repéré, un simulacre d'attaque contre un croiseur britannique puis, l'Histoire n'étant jamais qu'un éternel recommencement, fit surface pour se rendre.

Comme en 1918, les sous-marins allemands avaient été à deux doigts de vaincre la Grande-Bretagne. Comme en 1918, ils avaient échoué. Et comme en 1918, tous ceux qui se trouvaient en mer firent alors surface et se livrèrent à leurs vainqueurs qui, comme en 1918, s'en emparèrent afin de les étudier longuement, puis les reproduire pour leur propre compte.

Aujourd'hui encore, qu'ils soient à propulsion nucléaire ou qu'ils aient conservé le traditionnel mode diesel/électrique, qu'ils soient stratégiques ou d'attaque, les sous-marins ne s'écartent guère des formes hydrodynamiques définies par le type XXI allemand, dont le seul exemplaire survivant est exposé dans un musée de Bremerhaven pour l'édification des générations futures...

"sehr damenhaft"

... le 22 avril 1945, Magda Goebbels - "sehr damenhaft" ("très grande dame") comme le notera un témoin - arrive au Führerbunker en compagnie de six de ses sept enfants (Helga, Helmut, Hilde, Holde, Hedda et Heide, âgés de 5 à 12 ans.

Ayant tout donné au nazisme, et incapable de concevoir pour eux un monde privé d'Hitler et du national-socialisme, elle les empoisonne de ses propres mains peu après le suicide d'Hitler et d'Eva Braun, le 30 avril.

Un double suicide précédé d'une scène déchirante, au cours de laquelle Magda se jette littéralement aux pieds du Führer, pour le supplier de n'en rien faire.

Ayant tué six de ses propres enfants, Magda s'en va ensuite retrouver son mari. S'emparant de l'insigne en or du parti nazi - le dernier cadeau que lui a remis Hitler 24 heures auparavant (1) - elle remonte avec lui jusqu'aux jardins de la Chancellerie. Dégainant chacun leur pistolet Walther, mari et femme s'approchent de l'endroit où les corps d'Hitler et d'Eva Braun ont été brûlés. Puis, dans un geste finalement très wagnérien, se font simultanément sauter la cervelle.

Gunther Schwagermann, aide de camp de Goebbels, arrosera ensuite les corps avant de les regarder longuement brûler...

(1) Dans le contexte, pareil cadeau était évidemment dérisoire, mais Magda en avait été bouleversée au point de jurer à Hitler qu'il venait de faire d'elle "la femme la plus heureuse d'Allemagne"

"La femme a été créée pour devenir mère"

… à la fin des années 1930, Magda Goebbels a atteint son but, et s'est hissée aussi haut que le peut une femme à l'époque, et dans une société aussi patriarcale que l'Allemagne nazie.

Vitrine du régime auprès des femmes, elle ne cesse ensuite de véhiculer l'image de l'épouse parfaite : toujours élégante, "sehr damenhaft" ("très grande dame") , attentive aux besoins de son époux, et mère attentionnée de ses nombreux enfants (sept au total, dont six avec Joseph).

"La femme, dira-t-elle, a été créée pour devenir mère, l'homme pour préserver et protéger la famille. De la même manière que l'homme trouve son plus grand bonheur dans le résultat de sa création, de ses aspirations et de son travail, en atteignant le but de sa vie, la femme ne trouve ce bonheur qu'en accomplissant ce pour quoi elle vit, la maternité !".

Mais à monter aussi haut, et toujours dans l'ombre d'Hitler, Magda a également brûlé ses vaisseaux : lorsque Berlin est investie par les Soviétiques, en avril 1945, et lorsque son mari et Hitler annoncent leur intention d'y rester jusqu'à la fin, Magda décide de les rejoindre dans le bunker qui va devenir leur dernière demeure à tous.

Berghof

... Depuis 1928, Hitler était locataire d'un chalet pour le moins rustique, connu sous le nom de "Haus Wachenfeld". Son accession au Pouvoir lui permit de le racheter. Divers agrandissements menés au début des années 1930 donnèrent finalement naissance au Berghof.

Eva y emménagea à la fin de 1936. D'une certaine manière, cet emménagement dans "la maison d'Hitler" constituait pour elle une forme de consécration. Une consécration néanmoins timide : si Éva était bel et bien la maîtresse des lieux en l'absence d'Hitler, elle redevenait immédiatement la "secrétaire cachée" dès que le véritable propriétaire y débarquait avec sa suite.

"On ne l'invitait jamais aux réceptions officielles, elle n'était pas autorisée à entrer dans la grande salle lors des entretiens politiques ou militaires. Les jours de visites importantes, elle devait demeurer dans sa chambre. Si les hôtes restaient plus longtemps, on la logeait ailleurs

(…) Mais ce qui toucha le plus douloureusement Eva, ce fut de ne pas être présentée au duc et à la duchesse de Windsor (1), dont l'histoire d'amour tragique la passionnait.

Et lorsqu'elle était autorisée, de temps en temps, à assister à une réception, elle devait vouvoyer Hitler devant les invités. Elle n'était autorisée à le tutoyer que devant leur entourage familier; mais même là, elle lui donnait du "mon Führer" (2)

(1) forcé d'abdiquer en décembre 1936 suite à sa liaison avec Wallis Simpson, le Roi Edward VIII d'Angleterre quitta la Grande-Bretagne et, en tant que duc de Windsor, fut accueilli le 22 octobre 1937 à Berchteshgaden par Hitler, dont il avait toujours été un grand admirateur.
(2) Knopp, page 103

Reich Bank


Le Reichbank est du moins la plus grosse réserves mondiasl qui a été construie , sous berlin dans un bunker, on entreposer tout l'or nazi ,des aterfact présieux d'egypte ,du Tibet et encore.
Le Reichbank cache bien des trésors précieux que hitler avait ordonnez de protégés ( même à la fin de la guerres ). Des trésor aujourd'hui que plumiers gens admires.

Si hitler n'auraient jamais ordonnez cette protection ,la moitiés des trésors nationale ( Oeuvre d'art , bijou ect. ) auraient périt pendant les lourd bombardement de la luftwaffe, ou bien même de la RCAF ( Royal Canadian Air Force ) . Qui à fait de lourd dégâts en Allemagnes et autres pays sous le contrôle de l'Allemagne nazi.

le ReichBank avait de l'or manquent,probablement cacher comme le fameux lac de Toplitz, ou bien même pris par les pillard Russes qui sait ?

L'or nazi


L'or nazi , mythe ou réalité...pour certain historien , l'or nazi n'est qu'une ruse des Allemand pour que les Russe S'affronte entre les Américain et URSS pour rentrer l'or nazi. Car après la mort de hitler un train a parti de Leipzig en direction de la pologne a son bord une quantité "phénoménale" du fameux or nazi. Le train ce rendis a mi chemins quand , les avion alliés l'on intercepter ,mais malheureusement il étaient vide, peut être le mauvais train , peut être une ruse. Mais l'or nazi est un mystère plutôt imposant chez les Historiens ,car plusieurs soldat Allemand qui ce trouvé a l'Autriche,encore non Occuper par les Alliés , avais des quantité phénoménale de marchandises provenenen de Berlin , des oeuvre d'art , de l'argent ,de l'armement ultra moderne , et même la fameuse Vril-7 , non terminé de schauberger.

Selon plusieurs témoiniage de la Alpinjägger ( Division de la werhmacht ) , celle-ci avait comme mission de protégé une quantité d'or d'une valleur entre 100.000 à 1 millions $ , en lingot d'or.
Cachez dans une granche ,puis après la guerre disperser dans la montagne du lac de Toplitz
une imposante montagne qui est recouvert d'une grande foret de conifère et de lac.
pendant prés de 55 a 60ans ,des chercheur de trésor on esseyer de trouvé le fameux or nazi ( qui soit dit en passent est une parti de l'or du 3eime reich , le reste est encore introuvable) , en 2000 ,on a finalement retrouvé l'or nazi , d'une valeurs estimé a 600.000$ cachez au fond du lac de Toplitz , cette or fut remise au juifs ,qui réclame l'or comme étant a eux.. personne sais réellement a qui appartiens cette mystérieuse or nazi.


Les eaux du lac Toplitz s'étendent, calmes et profondes, au coeur de la région sauvage et romantique des lacs de L'Ausseerland, dans le Salzkammergut autrichien. Entouré de parois rocheuses escarpées, le lac n'est accessible que par une petite route forestière"
"Une nuit, un robot sous-marin équipé d'un éclairage et d'un appareil à ultra-sons s'enfonça dans ses eaux noires et entreprit de le sonder,mètre par mètre"..."Cette opération, menée en l' an 2000 par la société Oceaneering Advanced Technologies, était la troisième du genre, et la plus coûteuse"..."Mais les plongeurs ne trouvèrent rien"
"Le lac fait l'objet des rumeurs les plus folles. On raconte qu'il abrite des caisses remplies d'or et de pierres précieuses, jetées là par les grands chefs nazis pour les soustraire aux Alliés qui avançaient inexorablement. On suppose également que s'y trouvent, hormis quelques dossiers explosifs (...), des documents contenant des révélations sur la création d'entreprises et des placements de capitaux effectués par les S.S à l'étranger, ainsi que des numéros de compte en Suisse."
"Depuis la fin de la guerre, des chercheurs de trésor exploraient régulièrement le lac. Mais en 1963, un jeune plongeur y trouva la mort, et les autorités interdirent la plongée en raison du danger. Car ce lac de montagne, profond de 100m , est tapissé d'une couche de vase épaisse de plusieurs mètres, dans laquelle des arbres immergés tendent leurs branches comme es tentacules vers les plongeurs téméraires. Pourtant, de nombreux legs du IIIe Reich furent effectivement remontés à la surface : des armes, des appareils de laboratoire, des canons rouillés et des propergols de fusée. (...) On remonta également quelques douzaines de caisses de fausses livres sterling, avec leurs planches à impression".
"Aux dires des autochtones, à l'approche des Américains, des grandes quantités de caisses de métal furent acheminées vers le lac Toplitz et y furent immergées. Des soldats SS avaient réquisitionné la charrette d'Ida Wassenbacher, une jeune paysanne âgée de vingt et un ans, qui avait été contrainte de mener son cheval sur le sentier étroit et cahoteux et de transporter une soixantaine de caisses jusqu'au lac. "Il fallait faire vite, les nazis étaient très nerveux", témoignera-t-elle. Elle vit les soldats embarquer la cargaison sur des barques avant de s'éloigner sur le lac et de jeter le tout par-dessus bord."
"Il semble donc qu'en 1945, quatorze nuits durant, , de lourdes cargaisons furent chargées sur des charrettes tirées par des chevaux ou des boeufs, puis immergées dans le lac."
"Les chercheurs de trésor espèrent toujours y retrouver de l'or"
"S’il y a une chose qui se trouve à coup sûr au fond du lac, (...) c'est l'or. Et l'or, ça ne peut pas être détruit. (...) Vous savez bien, il vaut mieux tenir la bonne que courir après sa maîtresse. Continuons donc à patienter encore un peu" (lettre de F. Schwend, officier nazi, à Heinz Riegel, officier nazi).


Jewish lies

Germania

Dans la vie , seules les vainqueurs peuvent écrirent l'histoires , les revisionniste sont oubliez de la societé car nous avon les vérité en face , l'histoires de la première et deuxième guerre mondial pour vous ( les gens qui me croient pas ) , sont ceci :

- Allemagne déclare la guerre au Anglais , les Allemand perd la guerre
- Hitler crée son parti nazi pour vanger la defaites
- 1933 hitler gagne
- 1939 les Allemand refait la guerre qui on perdu.
- 1945 Hitler perd la guerre a nouveaux.

Mais pour moi ca serais plus :
- 1914 ( 2mois avan la guerre ), les americain vende des arme au Allemand
- 1914 ( même epoque ) les Anglais savais les vende de nouveau avions et fusil
- 1914 ( même époque) Les serbe frustrée de l'accord donnez entre L'autriche et l'Allemagne sur la protection SI jamais les pays autre que Autriche,Suisse,Allemagne,Norvege ect déclarer la Guerre a l'Autriche ou l'Allemagne celui si ( Allemagne ou Autriche ) le protegerais militairement,financiérement et socialement.
- 1914 , la guerre éclate aprés des presion forte entre les 2 nation ( serbie et l'angleterre ) qui savais alliès en plus secrétement :

France avec l'angleterre Contre l'Allemagne
Serbie avec la russie Contre l'Allemagne
1917 les americain regoin le front ( Aucune raison de pourquoi il on fait ca, il disais que " La guerre en europe n'est pas seulement européene mais americaines ".
On a blammé l'Allemagne d'avoir causé la premeire guerre mondial ( en fait ces la Serbie qui la déclarer ) , on a crée le Traité de versaille ( Qui a couté 132 Milliard de ReichMark au Allemand) Impuisant pour ce rebatire , les Allemand pouvais seulement rembourser 50 Milliard de ReichMark, la depresion commence.

L'argent allemand ne valler plus un sous , les compagnie étrangere( surtout juive ) S'instale et sous paye les Allemand incapable de manger , a Danzig Corridor son les plus touchez , il ce manger entre eu ( canibalisme ).
Certain manifeste,ca qui crée des mort par miliers ,du chomage qui a passé de 0 a casiment 100% , des jobs, de largent, de la nouriture , de l'éducation n'exister plus.
Adolf Hitler Caporal de l'armée rentra chez lui avec une éducation terminez en architechture,mais pour en faire quoi? des batiment..quel batiment aucun argent pour en crée?
Vie apeine de ces painture,de quoi assez pour manger. c'est allor frustrée en voyen sont peuple mourire de faim qui prend ca voix et ces idéologie en main ,hitler le seule et vrai sauveur de l'Allemagne.

Plusieur le croyer illuminez,mais en 1929 ,aprer le crash bourser ,hitler gagne des point et du monde au Election,aprer 10ans de famine, le monde reagis enfin a prendre hitler comme le dernier espoir. Il vain le premier Chancelier tout puissant de l'Allemagne.

Pour certain l'Allemagne est un gouvernement "Militarisme" , mais jusqu'A la preuve du contraires l'Allemagne jusqu'en 1938 il etais un gouvernment de Weimar( Economi de droite avec un socialiste de gauche ). C'est vrai que en 1935 il a eu le pacte naval ( 10.000 tone maximume soumi par les anglais ) ou les avion HE-III cacher en civil.

Mais hitler na jamais réelement gaspiler de largent en armement "Secret" jusqu'en 1938 , soit 1 ans aprer l'insident de 1937 ,avec le pact de protection Anglo-française avec la pologne.
ou le massacre de Danzig corridor ( 1938 , 58.000 mort allemand " Deutschvolks " ) ou même année ( 1938 ) la coupure du 1000 km carée donnez par le gouvernement polonais en 1937.

Hitler ce réarme et fait le siegfried lines, qui emboche telement de gens ,et paye les personne a un salaires superieure a autrefois ( Avan la première guerre mondial ) de plus hitler rembourse l'argent du traité de versaile ,et en plus rembourse les dête militaires et gouvernement.

ca qui fait un nouveau Enemie Economic et sociale pour le reste du monde entier.

En 1939 ( le premeire september a 00:01 ) L'Angleterre aprer un ultimatume de 24heure déclare la guerre a l'allemagne ,mais envoye seulement les premeire troupe la semaine suivante.
Hitler deja entrain de conquire des térritoires, les anglais ce depeche et s'instal en france.

C'est fut le premeire septembre 1939 que les anglais déclare inutilement les Allemand( L'Allemagne a signer un pact de non agresion avec l'autriche pour faire le pact l'alliance,ca qui a causé bien des probleme,en 1936 il on fait le premeir coup , les Italien frustrée a casiment déclarer la guerre,mais aprer venue alliés fidele).

En 1945 les Allemands perd une fois de plus la guerre ,aprer l'attentas de staufenberg , hitler venue paranoïaque alluciner des guerre imaginable avec des infenterie inexistant, le monde du führer c'est écrouler en laissen deriere lui un rêve du nom de Germania, et en laissen deriere lui la véritable histoires de la première et deuxième guerre mondial.




Nous n'avons qu'un désir, c'est que cet esprit renaîsse.

Göring un monstre ?

Pas si sur , göring de plus d'être un connaiseur de bon vin , il avait du respect pour la nature.

Reichsautobahnen





Autoroute du 3eime reich encore en vie aujourd'hui, la plus efficase au monde.

La seule réalisation impérissable du travail et de l'énergie humaine, c'est l'art.

La seule réalisation impérissable du travail et de l'énergie humaine, c'est l'art.


- Adolf Hitler -




le pacte naval

... le 16 mars 1935, profitant de son éclatant succès dans le rattachement de la Sarre à l'Allemagne, Adolf Hitler avait violé une nouvelle fois le Traité de Versailles, en annonçant le rétablissement du service militaire obligatoire, et son intention de doter l'Allemagne d'une armée de 550 000 hommes

Une fois de plus, les démocraties occidentales s'étaient contentées d'envoyer de vagues notes de protestation, qui ne seraient certes pas les dernières.

Un mois plus tard, à la Conférence de Stresa, les représentants italiens, anglais et français réaffirmèrent leur soutien au Traité de Versailles, et soulignèrent qu'ils n'accepteraient plus aucune nouvelle violation de la part de l'Allemagne

Vaine rodomontade : deux mois plus tard, le 18 juin 1935, la Grande-Bretagne, pensant ainsi calmer la Bête, signa avec elle un pacte séparé qui violait le Traité de Washington de 1922 sur les constructions navales. Un pacte qui autorisait non seulement l'Allemagne à posséder jusqu'à 35% du tonnage de la marine de guerre britannique, mais aussi, et surtout, à construire une flotte sous-marine... interdite par le Traité de Versailles (!)

Une flotte qui, quelques années plus tard, allait se distinguer en mettant l'Angleterre à genoux, et en coulant un nombre record de navires anglais...

le coup de Gleiwitz

... le protocole secret du pacte germano-soviétique de non-agression définissait explicitement les "sphères d'influence réciproques en Europe orientale", accordant à Staline la Finlande, l'Estonie, la Lettonie et la Bessarabie, ainsi qu'une partie de la Pologne.

Il n'était plus question, comme le prétendait pourtant Hitler, de "désenclaver Dantzig", ni d'y créer un "corridor humanitaire" au bénéfice de la population germanophone : il s'agissait ni plus ni moins que d'attaquer militairement la Pologne, et de se la partager ensuite.

Mais Hitler était formaliste, il lui fallait un prétexte officiel. Ce prétexte, ce fut le fidèle Alfred Naujocks qui le lui fournit.

Né en 1908, adjoint de Reinhard Heydrich (chef de la SD et futur Reich-Protecteur de Bohème-Moravie), Alfred Helmut Naujocks
est un nazi de la première heure et - déjà - un spécialiste des actions clandestines.

Le soir du 31 août 1939, alors que les troupes allemandes n'attendent plus que le feu vert pour attaquer, son commando, revêtu d'uniformes polonais, s'empare de la station de radio allemande de Gleiwitz, en Silésie, à deux pas de la frontière polonaise

Une fausse "attaque", exécutée par de faux Polonais contre une vraie station de radio allemande, et qui doit, en diffusant une déclaration en polonais laissant croire à une attaque polonaise, apporter le prétexte idoine au Führer.

L'action est rondement menée, et les gardiens de la station promptement assommés à coups de crosses. Mais au moment où un des hommes de Naujocks s'apprête à lire le message sur les ondes, pas moyen de trouver le commutateur qui basculerait l'émission sur le réseau national (!)

Tant pis : l'émission ne sera perçue que par les quelques habitants du lieu. Ceci fait, Naujocks et ses hommes évacuent la station, tirent quelques coups de feu en l'air,... et abandonnent sur place un cadavre criblé de balles : celui d'un malheureux déporté du camp d'Orianenbourg, euthanasié pour l'occasion, puis revêtu d'un uniforme polonais.

Au matin du 1er septembre, le Völkischer Beobachter - journal officiel du parti nazi - titre à la Une sur "l'attaque polonaise".

Mais Hitler a déjà pris les devants : à 04H45, les premières troupes allemandes ont pénétré en Pologne. Et à Dantzig, le vieux pre-dreadnought "Schleswig-Holstein", vétéran de la Première guerre mondiale, a déjà tiré les premiers obus de la Seconde...

Le dernier en vole mais trop tard

... au début de la guerre, les célèbres Junkers 87 "Stuka" avaient fait régner la terreur au dessus de l'Europe, et remporté de nombreux succès, grâce à la précision de leurs bombardements en piqué. Mais dès le début de la Bataille d'Angleterre, les dits Stuka s'avérèrent bien trop lents et trop vulnérables aux attaques de la DCA et des chasseurs ennemis pour être encore engagés au dessus de secteurs trop défendus.

En février 1943, réalisant l'imminence d'un débarquement allié sur les plages françaises, la Luftwaffe réclama donc un nouveau bombardier en piqué, qui ajouterait cette fois la rapidité à la légendaire efficacité du Stuka, à présent totalement démodé

Pour répondre à cette demande, les ingénieurs de Henschel imaginèrent une minuscule avion à réaction, capable d'échapper non seulement aux chasseurs ennemis, mais aussi - et surtout - aux tirs de défense antiaérienne les plus violents. Pour y arriver, il était naturellement indispensable de piquer à très grande vitesse. Mais il fallait aussi réduire au minimum la surface frontale de l'avion, donc la visibilité que ce dernier offrirait aux canonniers ennemis au moment du piqué.

Dans le Henschel 132, tout fut donc sacrifié à la réduction de la surface frontale,... y compris la position du pilote, désormais couché sur le ventre. Le moteur à réaction directement installé sur le dos du fuselage - à la manière du Heinkel 162 - procurait quant à lui toute la puissance nécessaire tout en n'augmentant la surface frontale que de manière négligeable.

On estimait généralement qu'un engin aussi petit, déboulant en piqué à près de 900 kms/h, constituerait pour l'artillerie antiaérienne une cible impossible à atteindre. Encore fallait-il que le pilote, couché dans l'habitacle, soit en mesure d'apercevoir la cible et de déterminer à la fraction de seconde près le moment exact pour larguer sa bombe, une prouesse qui dépassait les capacités humaines et exigeait donc un calculateur... qui ne fut naturellement pas livré dans les délais requis.

La complexité des problèmes théoriques et techniques à résoudre retarda d'ailleurs le programme de plus d'un an. Les premiers prototypes ne furent donc commandés qu'en mai 1944,... un mois avant le débarquement de Normandie, dont le succès retarda à son tour la construction des prototypes. Désormais jugée beaucoup moins prioritaire, cette construction ne débuta donc qu'en mars 1945, pour livraison prévue en juin,... soit deux mois après l'arrivée des chars russes dans l'usine Henschel...

Le premier des petit


... en février 1938, la célèbre aviatrice Hanna Reitsch avait permis à la petite société Focke-Achgelis - spécialisée dans les autogyres et les hélicoptères - d'accéder à une renommée mondiale en pilotant plusieurs soirs d'affilée leur dernière création - le Fa-61 - à l'intérieur-même d'un Deutschlandhalle sports stadium plein à craquer.

Il n'en fallait pas plus pour convaincre l'Allemagne nazie de s'intéresser aux voilures tournantes riches de promesses militaires, notamment dans le domaine du transport, de la reconnaissance, ou de l'évacuation sanitaire. Mais il y avait loin des promesses à la réalité.

Plus encore que l'avion, l'hélicoptère souffrait à l'époque, et dans tous les pays du monde, du très mauvais rapport poids/puissance du moteur avec lequel on tentait de l'équiper. Il en résultait des machines aux performances fort modestes, qui tenaient davantage du fragile bricolage de tubes soudés que d'authentiques engins de combat capables de remplir de véritables missions à proximité du Front.

De fait, malgré ses dimensions respectables, et un moteur BMW développant la bagatelle de 1 000 CV - record absolu pour l'époque -, le développement du Focke-Achgelis Fa-223 "Drache" ne fut d'aucune utilité pour l''Allemagne nazie, et la vingtaine d'exemplaires construits à un rythme d'escargot avant la fin du conflit servirent d'abord et avant tout à accumuler divers records de vitesse et d'altitude pour voilures tournantes.

Dès la fin de la guerre, Heinrich Focke se retrouva en France, et particulièrement à la SNCASE, pour y monnayer son expérience en matière d'hélicoptères. Mais le fruit de cette collaboration, le SNCASE SE 3000, se révéla une impasse technologique. Simple copie française du Fa-223, et incorporant d'ailleurs un maximum de pièces d'origine, le SE 3000 se caractérisait en effet par la présence de deux rotors certes contrarotatifs mais implantés non pas l'un derrière l'autre - comme dans les Piasecki américains - mais bien l'un à côté de l'autre, donc de chaque côté du fuselage. Il en résultait un invraisemblable et fort lourd assemblage de supports et d'arbres de transmission, bien évidemment non carénés et débordant très largement à l'extérieur, ce qui pénalisait d'autant la traînée aérodynamique.

Après quelques vols d'essais, la SNCASE préféra jeter l'éponge et envoyer les Fa-223/SE 3000 à la ferraille

Le derniers des Sieg Heil

... le 5 mai 1945, les restes de l'armée du général Wenck - celle-là même qui, selon les ordres personnels d'Hitler, devait venir à la rescousse de Berlin et sauver l'Allemagne nazie des bolcheviques - les restes de cette armée franchirent l'Elbe, toujours pilonnés par l'artillerie soviétique, qui tirait indistinctement sur les soldats et les réfugiés civils.

De l'autre côté du fleuve, les Américains se contentaient de regarder le spectacle, un peu comme au cirque, lorsque le spectateur fasciné regarde le dompteur se faire dévorer par les lions.

Lorsqu'ils réussissaient à franchir le fleuve, par les quelques ponts encore en service, les soldats allemands étaient immédiatement dépouillés de leurs armes, et parfois de leurs montres ou de leurs décorations, par les Américains.

Craignant d'être refoulés et livrés aux Soviétiques, les "Hiwis" - les supplétifs russes de l'armée allemande - tentaient de passer en civils, tandis que les SS eux-mêmes brûlaient leurs papiers et leurs insignes.

Installé dans le parc du château de Schönhausen,ancienne résidence de Bismarck, le général Wenck prenait la mesure du désastre.

Le 6 mai, il ne contrôlait plus qu'un rectangle de huit kilomètres sur deux, adossé à l'Elbe, et sur lequel s'acharnait l'artillerie russe, massacrant par milliers soldats et civils, hommes, femmes et enfants, désireux de passer à l'Ouest.

"Un certain nombre de gens qui ne purent franchir l'Elbe finirent par se tuer", nota sobrement le colonel Reichhelm.

Des dizaines d'autres se noyèrent, en tentant de franchir le fleuve à la nage.

Le 7 mai, les artilleurs allemands tirèrent leurs ultimes obus sur les troupes russes, puis firent sauter leurs pièces.

Les derniers survivants de la Scharnhorst se rassemblèrent alors près du pont de Schönhausen, crièrent un ultime "Sieg Heil", puis traversèrent le pont, en jetant leurs armes dans le fleuve

Dans l'après-midi, Wenck franchit le pont à son tour, tel le capitaine quittant son navire en train de sombrer..

The Secret Lebensborn Project of Christian Nazis


The Secret Lebensborn Project of Christian Nazis

As part of the genocide of the Jews run by the Christian Nazis known as the ‘Final Solution’ to eliminate non Christians in Europe, a parallel programme known as Lebensborn program, was going on during world war II in Germany. The Christian Nazis checked the appearance of the young children Jews and if these kids were seen to be of "proper genes" they were kidnapped and adopted to German Christian families to increase the number of the Aryan Christian race of Hitler's dreams.

Lebensborn means "spring of life". It was one of most secret and terrifying Christian Nazi projects. Heinrich Himmler created it on 12th December 1935. Lebensborn was registered as a society called Society Lebensborn –“Lebensborn Eingetragener Verein". The Lebensborn program had two main components. The first was the encouragement of non-marital pregnancies between Christian Aryan youths with the off-spring raised as Nordic supermen. The second, and more disturbing aspect of the program was the kidnapping of children from occupied territories and the distribution of these children to "aryan" families. It offered to young girls the possibility to give birth to a child that is racially pure Christian Aryan in secret. The child was then given to the SS organization which took in charge his education and adoption. Lebensborns were SS nurseries in the beginning. But in order to create a super christian race, the SS transformed these nurseries to a sleeping place good German girls who wanted to meet and make children with SS officers. The children born in the Lebensborn were taken in charge by the SS. One of the most horrible side of the Lebensborn policy was the kidnapping of children who looked racially good in the eastern occupied countries. These kidnappings were organized by the SS in order to take by force children who matched the Nazi's racial criteria of blond hair, and blue eyes. Thousands of children were transferred to the Lebensborn centers in order to be Germanized. In these centers, everything was done to force the children to reject and forget their birth parents. As an example, the SS nurses tried to persuade the children that they were deliberately abandoned by their parents. The children who refused the Nazi education were transferred to concentration camps and killed. The others were adopted by SS families. In 1942, in reprisals of the assassination of the SS governor Heydrich in Prague, a SS unit exterminated the entire male population of a small village called Lidice. During this operation, some SS made a selection of the children. 91 of them were considered as good enough to be Germanized and sent to Germany. The others were sent to special children camps for extermination. More than 250,000 were kidnapped and sent by force to Germany from Poland. About 50,000 Ukrainian children were kidnapped and about 50,000 from the Baltic regions. Even countries like Norway and France were not immune from such kidnappings and most of the children that survived the Lidice massacre (Czechoslovakia) were taken into the Lebensborn Even worse, the parents and siblings of kidnapped children were occasionally murdered or sent to concentration camps. After the war only a small portion of such kidnapped children were traced and returned to their homelands. Only 30-40,000 of the kidnapped Polish children were returned. It is known that several German families refused to give back the children they had received from the Lebensborn centers. In some cases, the children themselves refused to come back to their original family as they believed the Nazi propaganda that they were pure Germans. The Lebensborn program was considered so basic to the Christian Nazi racial philosophy that at the end of the war Lebensborn facilities were moved to the area in Bavaria where a final Nazi stronghold was planned. Vatican collaborated with Nazi-allied fascists in the wartime Balkans. Documents shows that the items looted from Jews, including gold, silver and jewelry were ended up in Vatican at the end of the war. The Swiss National Bank, was also acted as a depository for the stolen Jewish loot These looted wealth were used to help finance an escape route known as the "ratline" for the Christian Nazis to escape from Europe. The Christian Nazis escaped via the "ratline" between 1945 and the late 1950s was Ustashe leader Ante Pavelic, who made his way to Latin America using papers provided by the Vatican, and disguised as a priest. Barbie, known as "the butcher of Lyon," was another "ratline," escapee to Bolivia. U.S was using Barbie as an anti-communist agent after the war. Ratline escape route was provided by the Vatican for the most notorious Christian Nazi ‘Adolf Eichmann’ who was one of the architects of Hitler's "final solution in the extermination of non Christians. Eichmann was abducted from Argentina by Mossad agents in 1960, convicted at the end of a marathon trial in Israel, and hanged in 1962. Photos provide a pictorial glimpse of Hitler, how his Nazis mixed religion with government, and the support for Hitler by the Protestant and Catholic Churches in Germany. Photos of Hitler with Archbishop Cesare Orsenigo, the papal nuncio in Berlin, 1935 was available on the net. On April 20, 1939, Archbishop Orsenigo celebrated Hitler's birthday. The celebrations, initiated by Pacelli (Pope Pius XII) became a tradition. Each April 20, Cardinal Bertram of Berlin was to send "warmest congratulations to the Fuhrer in the name of the bishops and the dioceses in Germany" and added with "fervent prayers which the Catholics of Germany are sending to heaven on their altars." Cardinal Joseph Ratzinger who succeeded John Paul II as the present pope Benedict XVI was a former Hitler youth. The Hitler Youth was trained as the future Christian aryan supermen and future soldiers who would fight for the Third Reich faithfully. Physical and military training took precedence over academic and scientific education in Hitler Youth organizations. Youths learned to use weapons, built up their physical strength, learned war strategies, and were indoctrinated in anti-semitism. Hitler Youth have become part of the Nazi war machinery and committed war crimes. Many were prosecuted but no serious efforts were made to prosecute all. One of the best reference books on the Lebensborn program is "Of Pure Blood" Marc Hillel and Clarissa Henry (1976).

Lebensborn program of Christian Nazis was in many ways similar to the 13th Century, Muslim abduction of Christian children to be used as soldiers in the Ottoman army. The Islamic force led by one Osman known in the west as. Ottomans began violent aggression towards the Christian outposts in Asia. By 1439, Serbia was formally annexed to the Ottoman Empire. The non-White Ottoman Muslim army kept their fighting strength up was through a unit of foreign soldiers known as the Janissaries. Ottoman muslim leader, Emir Orkhan (1326 – 1359), ordered the conquered European christians in the Balkans that they must hand over to the Ottomans 1,000 White male babies "with faces white and shining" each and every year. The youths were brought before the Ottoman sultan, and the best of them - in terms of physique, intelligence, and other qualities - were selected for education in the palace school. There they converted to Islam, became versed in the Islamic religion and its culture, learned Ottoman Turkish, Persian, and Arabic, and were compelled to serve the Ottomans, with their origins being concealed from them. They became the best and most trusted armed unit within the Ottoman Empire- a supreme act of irony. This yearly tribute was continued for an astonishing 300 years until 1648, during which time not only were 300,000 White Christians were absorbed into the Muslim Ottoman hierarchy and in to the elite Turkish genetic pool. The Janissaries became known as one of the most efficient army of soldiers in the world and they were used to conquer the christian Europe. The Janissaries who were the stolen Christian children became the Ottoman elite. In this way hundreds of thousands of Whites entered the modern Turkish gene pool - and the Turks were already a largely mixed race themselves. The Janissaries were finally disbanded in 1826. It is another irony of the history that a young army officer named Kemal Ataturk, who was a descendant of one of the Janissaries, with blue eyes and blond hair seized the power abolishing the Ottoman dynasty in 1919 and declaring the Republic of Turkey in 1923. . In 1934, the national parliament gave him the name "Atatürk" (Father of the Turks). .During his 15 years of rule he banned the skull cap of muslims, banned religious attire in public. gave equal rights to women, changed the Arabic alphabet, banned the activities of muslim religious sects, abolished the Caliphship. He introduced Western calendar, International numeric system, Metric system etc. Allah Akbar (Arabic for God is Great!) was replaced with Turkish words "Tanri Uludur!” Because he has abolished the caliphate, which the Ottoman sultanate had held for centuries and for the first time in Islamic history, no ruler claimed the spiritual leadership of Islam. The Janissaries have taken the ultimate revenge on the Muslim Turkey by removing its very Islamic identity.

The Christian Nazis of Germany, from 1933 to 1945 had some 20,000 death camps in Germany. The Christian Nazi killing machinery grew to assembly-line proportions, slaughtering 6 million Jews and an equal number of Gypsies, mental patients, political prisoners. In the furnaces at Auschwitz Nazi death camp and in similar camps all over Germany, thousands of Jews were gassed daily and thrown by the hundreds into pits where Jews were burning. Little children were killed with sticks and thrown into the fire. Jews were were taken off trucks and cast alive into the flames at the Auschwitz Christian Nazi camp. Tens of millions of Jews were conscripted as forced laborers. To operate history's greatest slaughter, the Christian Nazis created a bureaucracy that meticulously recorded the arrest, movement and death of each victim. Sometimes even the lice plucked from heads in concentration camps were counted. But as the pace of genocide stepped up, unknown numbers were marched directly from trains to gas chambers without being registered. In the war's final months, the bookkeeping of the Christian Nazis collapsed but the slaughter of Jews continued. What documents survived Nazi attempts to destroy them were collected by the Allies to help people find missing relatives. The first documents were sent in 1946 to Bad Arolsen in central Germany, and the administration was handed over to the Red Cross in 1955. Some 50 million pages, or about 16 miles of files, some are scraps of paper, transport lists, registration books, labor documents, medical and death registers, refer to a total of 17.5 million individuals picked up by the Christian Nazis of Germany for slaughter. The Red Cross which is a Christian organization, refused to share its files. A governing committee of 11 member nations of Belgium, Britain, France, Germany, Greece, Israel, Italy, Luxembourg, Netherlands, Poland and United States have to approve the release of these records. This again compounded the delay in releasing the files of the men women and children of Jewish community who were the victims of Christianity which is known today as the HOLOCAUST.

http://www.spiegel.de/international/0,1518,446978,00.html http://www.timesonline.co.uk/article/0,,13509-2439127,00.html http://www.nobeliefs.com/nazis.htm http://tellthechildrenthetruth.com/blog/2006/03/25/the-vatican-and-the-third-reich-united-unholy-matrimony/

http://www.atheistresource.co.uk/uktvlies.html http://www.ushmm.org/wlc/article.php?lang=en&ModuleId=10005206

http://www.rickross.com/reference/hate_groups/hategroups164.html

http://www.cnsnews.com/ViewForeignBureaus.asp?Page=/ForeignBureaus/archive/200009/For20000904a.html

Hitler et l'or noir

La révolution russe avait ordonné le monde à nouveau. Jusqu'à 1917 les Européens étaient au commande. Maintenant, les entreprises des Etats-Unis voulaient s'y mettre aussi, surtout John D. Rockefeller, qui avait fondé la Standard Oil en 1870. En 1879 il a acquis la Vacuum Company et d'autres entreprises jusqu'à la loi antitrust en 1911, et à les diviser en plusieurs firmes plus petites. Mais les Rockefeller ont gardé le pouvoir. A cette époque, on n'extrait pas de pétrole au Moyen Orient, mais au Texas et à Bakou, dans le Caucase, où les propriétaires étaient les familles Nobel et Rothschild. Mais avec la révolution russe, ils ont perdu leurs investissements. « A l'été 1918, Monsieur Nobel a fui les Soviétiques et a demandé au Kaiser Wilhelm (l'Empereur allemand Guillaume), de l'aider à récupérer ses investissements à Bakou », explique l'historien berlinois Dietrich Eichholtz. Mais, une 'récupération' été impensable avec une République allemande désarmée.

Rockefeller avait les mêmes intérêts que la Deutsche Bank. La banque allemande, après la Première Guerre Mondiale, a perdu aussi toutes ses actions dans la 'Türkischen Petroleum Gesellschaft' (Société turque de Pétrole) et avec cela ses droits sur les gisements situés à côté du train à Bagdad. Pendant de nombreuses années, la Banque a vainement fait des procès jusqu'à qu'elle se soit rendu compte que le front juridique n'allait pas avancer. Alors, elle a parié sur un autre front. Elle a trouvé des alliés dans l'industrie pétrolière. Autour de 1927, cet accord secret entre Standard Oil et les nazis a du être signé. Adolf Hitler doit prendre le pouvoir pour conquérir le pétrole de Bakou. La Standard Oil voulait livrer le combustible. Durant cette même année, la Vacuum Oil Company, de l'empire de Rockefeller, a engagé le jeune nazi Adolf Eichmann, qui a maintenu cette relation prometteuse jusqu'à juin 1933.

En 1927, la Standard Oil et l'IG Farben ont fondé la Compagnie 'Standard Oil IG Farben' dont le siège se trouvait aux USA. Son président était William Farish, négociant en pétrole. La Standard Oil a cédé l'ensemble des brevets sur le processus d'hydrogénation du charbon pour produire du combustible synthétique et vice versa, la compagnie allemande leur a livré le brevet sur la production du buna [1], une gomme synthétique.

« L'Union Banking Corporation' vendait depuis 1924 des obligations allemandes sur le marché étasunien. Son président George Herbert Walker a fait enttré son gendre Prescott Bush, grand-père de George W. Bush au conseil d'administration. Prescott Bush dirigeait aussi la 'Walkers American Shipping and Commerce' avec liaison de l'Atlantique nord, Hambourg-Etats-Unis. Au conseil d'administration siégeait Emil Helfferich membre du 'Cercle d'amis du Reichsführer-SS' et jusqu'à la fin de la Guerre, président de la Deutsch-Amerikanische Petroleum Gesellschaft, postérieurement ESSO, et de la Vacuum Oil Company à Hambourg. Des « Réseaux de petits copains » qui avaient comme but de camoufler les investissements. Dans le cas contraire, ils courraient le risque d'une confiscation comme "propriété de l'ennemi" et d'être poursuivi comme "complice des nazis". »

« Les Etats-Unis étaient profondément divisés sur la position face au National Socialisme et si nous devions nous mêler de cette Guerre en Europe » - dit le professeur Christopher Simpson de l'American University à Washington -, « l'organisation de droite et anti-sémite 'América First' sympathisait ouvertement avec les nazis.'

'América First' fut coordonnée par les frères Dulles : John Foster Dulles, postérieurement ministre de relations extérieures, et Allan Dulles, chef de la CIA. 'América First' défendait les intérêts des entreprises américaines qui avaient investi en Allemagne. Une déclaration de guerre aurait mis en danger cet investissement.

Après la prise du pouvoir en 1933, tout allait comme cela avait été planifié. La Deutsche Bank est rentrée via sa 'Petroleum SA' dans les affaires pétrolière. Avec la Standard Oil et la Shell elles se partageaient les risques et les profits, comme le dit un rapport de la Banque du 15 mars 1935 :

« La Deutsche Petroleum SA a acquis des concessions pour faire des forages et va exploiter des régions avec des subventions étatiques. Elle veut faire participer la Royal Dutch Shell et la Vacuum Oil Company à travers une participation dans les futurs gisements, ainsi elle réduirait son risque mais aussi son profit en ca de découverte de pétrole. »

La Royal Dutch Shell est contrôlée par les monarchies anglaise et néerlandaise (Parents entre eux par la Reine Victoria) et Vacuum Oil Company veut dire : Standard Oil. L'accord secret répartit les risques et les profits des nouveaux champs pétrolifères. La Standard Oil voulait aussi aider les Allemands dans l'attaque de l'Irak et de l'Iran, avec « des machines de forer », dit le « responsable pour les pays arabes » au ministère des relations extérieures allemand le 5 février 1942 :

"Le but de notre avance sera, indépendamment de l'occupation de l'Irak, la Syrie et la Palestine, surtout le Canal de Suez et le Golfe Persique. Nous devons préparer l'occupation de toutes les installations pétrolifères de l'Arabie et de l'Iran. Une équipe d'experts sous la direction du géologue Dr. Schmidt de la Vakuum-Oil-Company à Hambourg va à être installée et rassembler tous les matériaux nécessaires, y compris les machines de perforation. »

Le plus grand problème de l'armée allemande, c'était le combustible pour les chars et les avions. On pouvait produire du charbon essence - grâce aux brevets de la Standard Oil-. Mais ce n'était pas suffisant.

Le gouvernement des Etats-Unis était très préoccupé par cette alliance, surtout après l'attaque japonaise sur Pearl Harbor, raison de son entrée en guerre en décembre 1941. Alors il a remis à jour une vieille loi sur « l'échange illégal avec l'ennemi » et a ouvert une procédure pénale contre la Standart Oil pour avoir dissimulé des brevets sur le Buna et l'aluminium aux forces armées étasuniennes et en même temps livré du combustible aux sous-marins et avions allemands. John D. Rockefeller a dit qu'il ne savait rien et Farish a rejeté la déclaration, mais a informé le procureur que la Standard Oil livrait aussi du combustible aux forces armées des Etats-Unis....

En mars 1942, le Pentagone a demandé au président Roosevelt de fermer le dossier contre la Standard Oil pour ne pas mettre en danger la production de guerre. Roosevelt a accepté. La Standard Oil a eu à payer une amende de 5.000 dollars et du promettre qu'elle n'approvisionnerait plus les Allemands avec en combustible et on a clos le dossier pénal. Mais Farish a dû témoigner face à une commission d'enquête du sénat dirigée par le futur président Truman, qui a parlé « de trahison ». Farish a déclaré face à la commission : « Nos contrats (avec l'IG Farben) étaient en vigueur depuis 1929 jusqu'en 1947. Vous, gentlemen, devez comprendre, que des contrats comme celui-ci ne sont pas plus d'actualité seulement parce que les gouvernements des parties sont en guerre. Les parties doivent trouver un chemin pour continuer avec leur propre affaire'.

Tandis que les soldats se faisaient tuer sur les champs de bataille, l'industrie cherchait un chemin pour « continuer avec ses propres affaires ». Cela n'a pas été facile parce que le Congrès à Washington a décidé, malgré la pression des entreprises, de déclarer la guerre à l'Allemagne et d'empêcher l'accord secret de l'industrie pétrolière avec les nazis. Pour la Standard Oil ce fut une défaite énorme. Comment « continuer avec sa propre affaire ? » Fonder un service d'intelligence propre ? Un service qui n'avait pas comme destin principal la sécurité nationale mais le négoce ? Le Business ?

Jusqu'à présent, on en sait peu sur un tel service. Mais, récemment sont apparues dans un ranch de la Virginie quelques caisses pleines de papiers qui ont été livrées à la CIA. Ces documents font référence à une agence d'intelligence avec le nom « The pond », fondée en 1942, juste durant l'année de la procédure contre la Standard Oil.

L'ouverture de ces caisses au public prendra au moins trois ans, m'a écrit la CIA. Mais ils m'ont offert de me vendre l'information que je demandais, pour 2.880 dollars. (La apertura de estas cajas al público al menos llevará tres años, me escribió la CIA. Pero me ofreció venderme la información que pedía, pagando 2880 dólares.)

La bataille dans le Caucase a duré cinq mois et demi. À partir de la moitié de 1942, quand aux Etats Unis la Standard Oil venait de subir la procédure pénale et les investigations du Sénat, l'approvisionnement des troupes allemandes a été interrompu. En janvier 1943, la défaite de la Wehrmacht est déjà un fait même si la guerre a encore duré plus de deux an et demi.

La Standard Oil voulait envoyer du pétrole par l'intermédiaire de pays neutres. Standard Oil of New Jersey a envoyé son jeune juriste au Venezuela. Et en 1940, la Standard Oil a envoyé William Mosetti en Argentine.

Mosetti est né le 25 novembre 1914 à Trieste. Son père était directeur du 'Lloyd Triestino', une compagnie de navigation qui contrôlait le canal de Suez. Mosetti junior a appris plusieurs langues et a étudié à Florence les mathématiques, la chimique et la physique. En 1935 il a pris part à la Campagne d'Abyssinie comme fonctionnaire de Mussolini. Le motif de la guerre étaient les gisements pétrolifères en Afrique et la Standard Oil a fourni au Duce le combustible nécessaire. En 1936 les troupes fascistes ont pris Addis-Abeba après avoir utilisé du gaz létal. Après cette guerre, Mosetti est retourné au monde des affaires, mais pas à la compagnie de son père qui a été nationalisée par Mussolini pour contrôler les navires commerciaux.

Mosetti a d'abord commencé à la Général Motors, et après chez Ford en Allemagne et le 15 novembre 1939 il a signé un contrat avec la Socony-Vacuum, la 'Standard Oil Company of New York' est qui l'a envoyé en Argentine, un pays très gentil avec les pays de l'Axe mais resté neutre jusqu'à quelques semaines avant la fin de la Guerre.

L'Argentine avait ses propres gisements pétroliers et n'était pas intéressée, ni à exporter ni à importer. Et aux USA, en décembre 1942 fut fondée la'Petroleum Administration of War'(PAW) qui empêchait que le combustible arrive aux mains des ennemis. Il devait autoriser chaque exportation. Le 25 mars 1942, l'ambassade des Etats-Unis a écrit à Washington : 'Des quantités énormes de brut sont importées par les succursales argentines de la Standard Oil of New Jersey et la Socony Vacuum. Une cour lui donnerait tort sur le fait qu'elle achète du pétrole en Argentine.'

La Standard Oil voulait-elle envoyer du pétrole à l'Allemagne par le biais de l'Argentine neutre ? S'il en est ainsi', il doit y avoir une différence entre les exportations depuis les USA et ses raffineries dans les Caraïbes vers l'Argentine et les importations de l'Argentine. Cette différence, selon les statistiques de la PAW et des données officielles du gouvernement argentin, fut grande en 1941 - mais loin de satisfaire les besoins des allemands -. Et en 1942, il s'est notablement réduit. Les alliés contrôlaient l'Atlantique et il n'y avait plus moyen d'envoyer le pétrole. La Standard Oil a changé son fusil d'épaule : au lieu de parier sur la victoire et la prise du contrôle du pétrole du Caucase, elle a commencé à limiter les dommages.

Mosetti est arrivé le 18 mars 1943 au port de Los Angeles. Un citoyen italien, auparavant fonctionnaire de Mussolini. Des gens comme cela ont été emprisonnés. Mais Mosetti a dit aux autorités de l'immigration, qu'il voulait dorénavant combattre pour les Alliés. Un 'prominent businessman', comme dit le dossier, lui a servie de garantie et quelques semaines plus tard Mosetti avait acquis la citoyenneté étasunienne. Le 18 mai 1943, il s'est engagé comme simple soldat dans l'armée et a été d'abord assigné au Signal Training Battalion à Camp Crowder, Missouri. Là il a été formé par le service d'informations et pour servir comme espion. En décembre de la même année, le Commando de l'Armée de Terre l'a soumis à des ordres secrets et il a été envoyé en mission en outre-mer.

L'OSS, Office of Strategic Services (Bureau de Services Stratégiques), prédécesseur de la CIA, s'est intéressée à Mosetti - qui parlait couramment italien et français - et voulait le recruter pour une mission secrète en Algérie. « ce poste requiert des connaissances de tactique de guérilla et/ou conduite de commandos de guerre, connaissance du combat corps à corps et maniement des explosifs et des armes. Il doit être préparé pour assumer des missions dangereuses. Il doit posséder des qualités de chef et de résistance physique. Il doit être de religion chrétienne et citoyen des Etats-Unis. »

Mais l'Armée n'a pas voulu le rater. Elle envoie Mosetti au nord de l'Afrique et depuis là il prépare l'invasion de l'Italie. En juin 1946, il a quitté l'Armée. Il est retourné à la Standard Oil jusqu'à ce qu'il fût envoyé par la Daimler-Benz en Argentine. Le 29 avril 1960 il est nommé par l'assemblée des actionnaires de Mercedes Benz Argentine Directeur Général et douze jours plus tard Adolf Eichmann, l'ancien employé de Vacuum Oil Company en Autriche, disparait. Le 23 mai le premier ministre David Ben Gurion a publié que le criminel de guerre se trouve en prison en Israel. On sait qu'Eichmann face à la cour en Israël n'a jamais dénoncé ses complices ou les hommes qui étaient derrière les nazis. Il n'a jamais mentionné publiquement un accord secret.

Mosetti a quitté Mercedes Benz en 1975. Son dernier emploi fut à l'ambassade des Etats-Unis à Berne. Il est mort en 1992 en Suisse.

Après de longues années de recherche je suis face à un mur de silence. Dans les archives de la Standard Oil et de Daimler-Chrysler j'ai seulement vu du matériel « nettoyé ». Daimler-Chrysler a soutenu pendant trois ans de ne pas connaître ni le nom de William Mosetti, son directeur général pendant 15 ans. J'ai demandé à l'Exxon-Mobil sur l'accord secret avec les nazis et sur ses employés Eichmann et Mosetti. Ils disent qu'ils n'ont pas trouvé leurs noms dans leurs archives.

Les multinationales ont le droit d'agir de cette manière cynique. Les lois qui règlent l'accès aux informations ne concernent pas les entreprises privées, mais seulement les institutions de l'État. Mais la question qui est sur la table est la même, aujourd'hui comme en 1942 : comment les forces démocratiques doivent-elles affronter les entreprises quand elles violent les lois et la Sécurité Nationale ? En 1942, le gouvernement des Etats-Unis a commis l'erreur historique de clore la procédure pénale contre la Standard Oil et ne l'a pas ouverte non plus après la guerre.

L'erreur s'était prolongée vers le sujet du lavage de l'argent nazi. Deux fois le gouvernement des USA a essayé de trouver « l'or nazi ». Avant de finir déjà la guerre il a créé « l'Opération Safehaven » (port sûr), en cherchant les comptes des entreprises allemandes en Suisse. Mais en 1947 meurt pacifiquement l'opération « Safehaven », on annonçait déjà la Guerre Froide et on avait besoin des alliés.

Il y a dix ans, le secrétaire d'Etat Stuart Eizenstat a publié un volumineux rapport sur le « blanchiment de l'or nazi ». Toutes les institutions des Etats-Unis ont dû ouvrir leurs archives pour ces recherches. Mais dans le rapport d'Eizenstat il n'y a rien de nouveau, pas une seule piste sur le blanchiment d'argent de Daimler-Benz en Argentine, pas une seule mention sur William Mosetti bien que la confiscation de l'empire de Jorge Antonio ait été pendant des années sur les couvertures des journaux argentins et les chefs de la CIA devaient l'avoir vu. L'industrie allemande a payé dix milliards de marks (autour cinq milliards de dollars) pour les travailleurs forcés, et le sujet a disparu.

À l'heure actuelle, aux USA a déjà commencé la période post Bush. Le Congrès dominé par le Parti Démocrate essaye de sortir de la guerre en Irak et de créer les conditions pour des enquêtes contre George W. Bush. Probablement, ils vont négocier et dissimuler les faits à nouveau, hors du public et du contrôle démocratique. Comme en 1942.


Gaby Weber, est journaliste, auteur et réalisatrice allemande.


Source de la version française:
El Correo

Traduction de l'espagnol: Estelle et Carlos Debiasi pour El Correo.

Article en espagnol: Labour net


Notes :

[1] Un type de caoutchouc synthétique, inventé par des chimistes allemands en 1935. Les "caoutchoucs Buna" sont des copolymères. L'un d'entre eux, connu sous le nom de "GR-S" ("Government Rubber Styrene"), copolymère de butadiène et de styrène, a servi de base à la production de caoutchouc synthétique aux États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans un camp de concentration secondaire d'Auschwitz, l'entreprise allemande IG Farben exploitait une usine de produits chimiques, la Buna-Werke. Wikipédia


Articles de Gaby Weber publiés par Mondialisation.ca

Devil mountain


Berlin's tallest man-made mountain may be resting on the remains of an elite military academy planned by the Nazis. A group of underground explorers wants to go down and find out.

Considering what may be underneath, it's darkly ironic that Berlin's highest artificial hill is called "Teufelsberg," or "Devil's Mountain."

"We know for sure that there's a massive multi-story bunker complex underneath," Dietmar Arnold, co-founder of the Berlin Underground Society, a group dedicated to researching subterranean urban history, said in an interview with German news agency dpa.

Arnold and his colleagues are eager to explore what he called "the last undiscovered secret that underground Berlin has to offer."

Rubble mountain

When World War Two came to an end in 1945, the devastated German capital began to clean up and rebuild. Berliners had to do something with the millions of tons of rubble their city had become, so they piled it up just outside the city.

The result was a nearly 120-meter (390-foot) peak, covering up what would have been a key element in Adolf Hitler's plan to create the powerful "Germania" superpower.


In the late 1930s, Nazi architect Albert Speer was commissioned to design an elite military academy on the site of what used to be a popular lake-side vacation destination near Berlin.

Though construction of the academy began, the Nazis had to interrupt the building plans a few years later as the war heated up and resources were needed elsewhere. It was never completed.

Uncovering history

During the Cold War, the Americans set up a radar unit on what had then become Teufelsberg to listen in on radio communications in East Germany. The buried Nazi academy was quickly forgotten -- until the Berlin Underground Society recently discovered documents pertaining to the site.

Arnold said close to 1,000 underground bunkers had been built in Berlin during the Nazi era, though many were later destroyed. Founded in 1997, his organization has already uncovered 50 of them. One of their most significant projects was a digital reconstruction of the bunker where Hitler took his own life in April 1945.

Although efforts were supposedly made to blow up the half-built military academy at the end of the war, Arnold is convinced that his group will find it intact -- a find that would not only be a significant feather in their caps, but also an important lead for World War Two historians.

After 55 years, Nazi Secrets Discovered in Austrian lake

Counterfeit Money Created To Crash British, American Economies

Nov. 21, 2000 (CBS) Imagine a lake more mysterious than Loch Ness - a lake that hides a secret no one was meant to discover. There is such a place high up in the Austrian Alps. It is a lake

Early one morning in 1945, Nazi S.S. officers sank a number of wooden boxes in Toplitz. Legend has it that the lake conceals everything from Nazi gold to the darkest secrets of Hitler's Reich. This summer, 60 Minutes II led an underwater expedition in search of those boxes. They found evidence of a Nazi plot you didn't read about in your history books. What's in Hitler's lake? CBS News Correspondent Scott Pelley reports on the secrets at the bottom of Lake Toplitz.

It is hard to imagine a better place to hide. In a dense mountain forest, Lake Toplitz lies secluded, folded deep into the Alps of western Austria. It isn't large - just a mile long. What is daunting is the depth.

Getting to the bottom of Toplitz is a journey. After 30 feet, the sun goes dark. Below 100 feet, the water is nearly freezing. At 348 feet, the bottom comes into view. There is no life (no plants and no fish) because there is no oxygen in the water. In 1945, Toplitz was practically as remote as the moon. And with secrets to keep, Toplitz was just what the Nazis were looking for.

Feb. 23, 1945: Hitler's Reich was tumbling down. The Allies were closing in and, in bombed-out Berlin, the Nazis were scrambling to truck their most valuable secrets out of town.

Adolf Burger was expecting to die at the Sachsenhausen concentration camp. He was the man who knew too much - a Jew who had been forced to work on a top-secret Nazi plot. "That means I am someone who is privy to state secrets, they always end up dead; they were always liquidated," said Burger.

He and several other prisoners were forced to participate in a covert Nazi project creating fake currency to crash Allied economies - including that of the United States.

When the project was abruptly ended, Burger was told to pack the counterfeit currency into boxes. He didn't know at the time, but the product of his work was taken to the Nazis' last holdout: the Austrian mountains called the Alpine Fortress. The Nazis planned to evacuate Hitler and a guerrilla army to the region around Lake Toplitz.

In the Alpine Fortress, time ran out on the Reich. By April 1945, Hitler was dead in Berlin, and the Allies were closing in all around. You could actually hear the artillery echoing in the mountains. Many of the last leaders of the Nazi regime fled there - some to make a last stand, others to try to save some remnant of the Reich in hope of starting over one day.

And Adolf Berger's work was essential to that plan.

The cargo was so well hidden that, chances are, no one would have ever seen the boxes again if it weren't for a 21-year-old Austrian farm girl. Ida Weisenbacher saw where the boxes went. She lives in the same house near Lake Toplitz where Nazi soldiers found her 55 years ago.

"It was five o'clock in the morning, we were still in bed when we heard the knock on the door," remembered Weisenbacher. "'Get up immediately hitch up the horse wagon, we need you.'"

They needed the wagon because the truck had reached the end of the road. Only horses could make it to Toplitz. "A commander was there. He told us to bring these boxes as fast as possible to Lake Toplitz," added Weisenbacher.

She said each box was labeled with bold-painted letters and a corresponding number.

She carried three wagonloads to the lake. "When I brought the last load, I saw how they went on to the lake and dropped the boxes into the water.... The S.S. kept shoving me away but I saw the boxes were sunk into the lake," said Weisenbacher.

The Nazis knew that searching a place so cold, so dark, and so deep wouldn't be possible with the technology of the time. But they couldn't have foreseen a phantom in the future.

The Phantom is a deep-diving robot operated by Oceaneering Technologies in Maryland connected by a tether to a pilot on the surface. Jeff Kowalishen is one of the pilots of the underwater craft: "It's hard to hide something from this type of equipment."

Oceaneering uses The Phantom around the world on some of the toughest jobs imaginable. It was Oceaneering that recovered the wreckage of the Space Shuttle Challenger, lifted TWA Flight 800 off the bottom of the Atlantic Ocean and located the aircraft of John F. Kennedy Jr.

60 Minutes II hired Oceaneering to search every inch of Lake Toplitz and recover the boxes if they could be found. "No one has tried at Toplitz to do this, but we have done this type of work all over the world," said Kowalishen.

But in that part of the world, the project wasn't entirely welcome. The region once known as the Alpine Fortress still celebrates its traditions, but many Austrians don't like dredging up reminders of a Nazi past.

It was in the winter of 1999 that negotiations were started with the Austrian government and the country's forestry service. After being assured the project wouldn't hurt the environment, the Austrians agreed to lease the lake for 30 days - an incredibly tight schedule for what the Oceaneering team was about to attempt.

There had been other dives in Lake Toplitz over the years, and artifacts related to the project had been raised before. But this expedition was to be the first comprehensive search of Toplitz. The dive would cost over $600,000, with major funding provided by the World Jewish Congress.

Toplitz doesn't seem large until you search it inch by inch. The video image relayed from the remote submarine is only three feet wide. The first thing Oceaneering found was a layer of silt on the bottom that often blew like a blizzard, blinding the camera.

Team member Ian Griffith of San Francisco is an expert on the remote-controlled subs. "If we are too high, we are not going to see anything. If we are too low, we are going to destroy the visibility and not see anything," he said.

For 12 hours a day, the crew strained for some familiar shape. "We have four pilots. You can only do it for so long, and then it really becomes monotonous," said Griffith.

But there was no hint of anything like Adolf Burger's boxes. It was possible the boxes were buried or covered in silt. It was also possible, after 55 years, they had just crumbled away.

The long days turned into weeks - nearly three weeks of searching. The submarine would cover more than 35 miles altogether. The 30-day deadline imposed by the Austrians was getting closer. And Oceaneering couldn't get a break from the lake.

To the tethered mini-sub, the lake floor was a minefield. Oceaneering expected trees but not underwater forests. Trees had fallen from the mountain and were stacked 60 feet high in some places. The Phantom would spend days lost in the woods.

And when it wasn't the trees, it was the weather.

The picture-postcard lake often developed a foul mood. There were hailstorms and lightning.

The crew figured it was out of luck when a bolt of lightning struck the navigation system, and the search pattern wasn't reliable anymore. But Kowalishen wanted to press on, guiding The Phantom by dead reckoning and as it turns out, dumb luck.

Then a discovery was made -- not the intact boxes the crew hoped to find, but the remains of something decades old, pieces of wood that might have come from the Nazi crates.

L'oreal un passé oubliez

Le géant de la cosmétique, L'Oréal, vient d'annoncer la restructuration de son capital. Ainsi disparaît le holding de contrôle créé par Eugène Schueller pendant la Seconde Guerre mondiale. Le fondateur du groupe était aussi l'un des grands financiers du complot de la Cagoule et du nazisme français. A la Libération, la société et ses filiales étrangères servirent de refuge aux criminels en fuite. Aujourd'hui, l'héritière du groupe, Liliane Bettencourt, est devenue la femme la plus riche de France. L'histoire du groupe éclaire la face cachée de la politique française contemporaine.

C'est par un bref communiqué, diffusé le 3 février 2004 dans la nuit, que le géant de la cosmétique L'Oréal a annoncé la restructuration de son capital [1]. La famille Bettencourt et le groupe Nestlé, qui détenaient ensemble la majorité de L'Oréal par l'intermédiaire du holding de contrôle Gasparal, la posséderont désormais directement. Ce tour de passe-passe étant accompagné d'un engagement de conservation de titres, les Bettencourt bénéficieront d'un abattement de 50 % de la valeur taxable à l'impôt sur la fortune (ISF). Ils ne seront pas tenus de payer de frais pour cette transaction grâce aux nouvelles dispositions introduites à leur intention dans la « loi pour l'initiative économique » du 1er août 2003 [2].

L'Oréal est aujourd'hui évalué à 43,6 milliards d'euros. Les Bettencourt détiennent 11,99 milliards ; Nestlé 11,5 milliards ; les 20,11 milliards restants flottants en Bourse. La fortune personnelle de Lilliane Bettencourt, héritière du fondateur de L'Oréal, était estimée en 2002 à 17,2 milliards d'euros. Ce qui en fait la personne la plus riche de France.
Une entreprise qui veut se payer la République

L'Oréal a été créé, en 1907, par un petit entrepreneur, Eugène Schueller. Il absorbe Monsavon, en 1928, puis les peintures Valentine, les shampoings Dop, le magazine Votre Beauté. Dérivant lentement à la droite la plus extrême, Schueller se fait connaître par ses théories économiques sur le « salaire proportionnel ». Dans une société libérée du capitalisme libéral et des syndicats, les ouvriers toucheraient un triple salaire : un salaire d'activité, un salaire familial calculé en fonction de leur nombre d'enfants, et un salaire de productivité.

Le 6 février 1934, en réaction à un retentissant scandale politico-financier, les ligues d'anciens combattants de la Grande guerre manifestent devant la Chambre des députés à Paris pour obtenir la démission du gouvernement Daladier. Sous l'impulsion des fascistes, le rassemblement tourne à l'insurrection et tente de renverser la République au profit du colonel de La Rocque qui refuse le rôle qu'on veut lui faire jouer.
Divers autres échauffourées surviennent dans les semaines suivantes, y compris une tentative de lynchage de Léon Blum en marge de l'enterrement d'un historien monarchiste, de sorte que, le 18 juin, le gouvernement prononce la dissolution des ligues. Immédiatement, un groupe de militants fascistes, pour la plupart issus de la XVIIe section des Camelots du roi, rompt avec le philosophe monarchiste Charles Maurras et décide de passer à la clandestinité. Ils constituent l'Organisation secrète d'action révolutionnaire nationale (OSARN). Il y a là autour d'Eugène Deloncle, Aristide Corre, Jean Filliol, Jacques Corrèze, bientôt rejoints par Gabriel Jeantet, François Méténier et le docteur Henri Martin.
Le colonel de La Rocque met en garde les anciens adhérents des ligues contre une infiltration de leur mouvement par des « groupes de trahison », c'est-à-dire par des fascistes agissant pour le compte de l'étranger, l'Italie et l'Allemagne en l'occurrence [3]. Quoi qu'il en soit, l'OSARN se structure rapidement en groupes locaux et en système hiérarchisé extrêmement cloisonné, de sorte qu'en dehors des chefs, les membres de l'organisation ignorent tout de son ampleur, de ses objectifs réels, des moyens et soutiens dont elle dispose. Certaines cellules du complot, dont les Chevaliers du glaive, dirigés à Nice par Joseph Darnant et François Durand de Grossouvre, adoptent un rituel et un costume inspirés du Klu Klux Klan états-unien, ce qui vaudra à l'OSARN d'être désigné par les monarchistes sous le sobriquet de « La Cagoule » [4].

Ami intime d'Eugène Deloncle, Eugène Schueller met ses moyens personnels à disposition du complot. Plusieurs réunions de l'équipe dirigeante se tiennent dans son bureau au siège de L'Oréal.
Un groupe de jeunes gens, résidant à l'internat des pères maristes (104, rue de Vaugirard à Paris), fréquente les chefs du complot et se joint à certaines de leurs actions sans pour autant adhérer formellement à l'OSARN. Il s'agit de Pierre Guillain de Bénouville, Claude Roy, André Bettencourt et François Mitterrand.
Robert Mitterrand, frère de François, épouse la nièce d'Eugène Deloncle.
Échecs et divisions sur fond d'antisémitisme

En un an et demi, l'OSARN formalise ses relations avec le gouvernement de Benito Mussolini en Italie, puis avec celui d'Adolf Hitler en Allemagne. Pour leur compte, il achemine des armes à Francisco Franco en Espagne et élimine des réfugiés politiques en France. En échange, il obtient un appui financier et logistique considérable. L'organisation tente un coup d'État dans la nuit du 15 au 16 novembre 1937, qui échoue. Au lendemain et dans les semaines qui suivent, le complot est mis à jour. Des perquisitions permettent de découvrir des caches d'armes réparties sur tout le territoire. Ce sont au total des centaines de fusils-mitrailleurs, des milliers de fusils et d'uniformes, des dizaines de milliers de grenades, des centaines de milliers de munitions, tous importés d'Italie et d'Allemagne, qui sont découverts.
Le président du Conseil, Édouard Daladier, freine l'enquête lorsqu'il apparaît que l'OSARN a développé ses réseaux parmi les officiers supérieurs et jusqu'à l'état-major. En effet, il ne paraît pas possible de décapiter l'armée française alors que la menace de guerre se précise. Il a tort, puisque la Guerre mondiale est effectivement déclarée et que la France capitule.

Si une partie des « cagoulards », hostiles à la domination étrangère, rejoint de Gaulle, la plupart d'entre eux se félicite de la victoire du fascisme et s'engage dans la Collaboration. En septembre 1940, Eugène Deloncle et Eugène Schueller créent le Mouvement social révolutionnaire (dont l'acronyme MSR se prononce « aime et sert ») avec le soutien de l'ambassadeur du Reich, Otto Abetz, et l'approbation personnelle du chef de la Gestapo, Reinhardt Heydrich. Les réunions de la direction du MSR se tiennent au siège de L'Oréal (14, rue Royale à Paris).
Le programme de l'organisation indique « Nous voulons construire la nouvelle Europe en coopération avec l'Allemagne nationale-socialiste et tous les autres nations européennes libérés comme elles du capitalisme libéral, du judaïsme, du bolchévisme et de la franc-maçonnerie (...) régénérer racialement la France et les Français (...) donner aux juifs qui seront conservés en France un statut sévère les empêchant de polluer notre race (...) créer une économie socialiste (...) qui assure une juste distribution des produits en faisant augmenter les salaires en même temps que la production ».
Première application de ce programme, Deloncle organise le plasticage de sept synagogues parisiennes, dans la nuit du 2 au 3 octobre 1941.
Subsidiairement, une organisation dans l'organisation est créée avec l'aide du SS Theo Dannecker, représentant Adolf Eichmann : la Communauté française dont le but est de « libérer complètement (la France) de ces ferments de corruption que sont les juifs et les Francs-maçons ». C'est ce groupe secret qui organise la spoliation des juifs souvent au profit personnel de ses membres. Parmi eux, on relève Jacques Corrèze déjà cité et Jean Filliol, le tueur de la « Cagoule ».

Quant au jeune André Bettencourt, il devient le patron français de la PropagandaStaffel. Il est placé sous la triple tutelle du ministre de la propagande, Joseph Goebbels, de la Wehrmacht et de la Gestapo. Il a la haute main sur toutes les publications françaises, qu'elles soient collaborationnistes ou nazies. Il dirige lui-même La Terre française, une publication explicitement nazie destinée aux familles rurales, qui préconise la rééducation des intellectuels décadents par le retour forcé à « la terre qui ne ment pas ». Il y emploie l'agronome René Dumont. Par ailleurs, Bettencourt offre régulièrement les colonnes de ses journaux à Schueller.
La solution Bettencourt

Le 15 février 1941, à la demande de la SS, le MSR de Deloncle fusionne avec le Rassemblement national populaire (RNP) de Marcel Déat. Le patron de L'Oréal, Eugène Schueller, devient la personnalité économique de référence. Son livre, La Révolution de l'économie, se classe dans les ouvrage de référence du fascisme français.
Le 15 juin 1941, dans son discours au congrès de l'organisation au Palais de la Mutualité, il appelle à « une révolution préliminaire à la fois d'épuration et de redressement » qui ne peut « être que sanglante. Elle consistera tout simplement à fusiller vite cinquante ou cent grands personnages ».
Le 22 juin 1941, le Reich attaque l'Union soviétique. Deloncle et Schueller décident de créer la Légion des volontaires français (LVF) pour combattre le bolchévisme sur le front de l'Est et de la placer sous l'autorité de Jacques Corrèze. Tous ses membres prêtent serment d'allégeance au führer.
Ils tentent de s'appuyer sur cette puissante formation armée pour éliminer leur adversaire politique Pierre Laval et leur allié et néanmoins rival Marcel Déat. Le 27 août 1941, à l'occasion d'une cérémonie de départ d'un contingent de la LVF sur le front russe, ils organisent un double attentat au cours duquel Laval et Déat sont blessés.

Le 20 décembre 1941, André Bettencourt, qui n'ignore rien des débats en cours à Berlin, écrit dans l'éditorial de Noël de La Terre française : « Un jour, trente ans plus tard, les juifs s'imagineront pourtant gagner la partie. Ils avaient réussi à mettre la main sur Jésus et l'avaient crucifié. En se frottant les mains, ils s'étaient écriés : « que son sang retombe sur nous et nos enfants ». Vous savez d'ailleurs de quelle manière il est retombé et retombe encore. Il faut que s'accomplissent les prescriptions du livre éternel ».
En effet, quelques jours plus tard la Conférence de Wansee décide la « solution finale » : des millions de personnes vont être exterminées dans le plus grand secret.

À l'issue des affrontements internes à la mouvance nazie française, c'est en définitive Deloncle qui tombe en disgrâce. Eugène Schueller se précipe alors, le 18 mars 1942, à l'ambassade du Reich pour se désolidariser de son ami. L'entretien est dûment consigné dans les archives allemandes.
L'OSS s'en mèle

La bataille de Stalingrad inverse le cours des événements. Désormais le Reich n'est plus invincible. André Bettencourt se rapproche de son ami François Mitterrand qui exerce diverses fonctions à Vichy où il partage son bureau avec Jean Ousset, le responsable du mouvement de jeunesse de la Légion française des combattants de Joseph Darnand. Ils seraient alors entrés en résistance au sein d'un Mouvement national des prisonniers de guerre et déportés (MNPGD) dont l'activité a été officiellement reconnue quarante ans plus tard par l'administration Mitterrand, mais sur laquelle les historiens s'interrogent toujours.
Fin 1942, André Bettencourt est envoyé par Eugène Schueller « aryaniser » la société Nestlé en Suisse, dont le patron de L'Oréal est devenu l'un des actionnaires principaux. Il profite de ses déplacements pour rencontrer Allen Dulles et Max Schoop des services secrets états-uniens (OSS). En 1944, ils lui donnent 2,5 millions de francs de l'époque pour financer leur réseau. On ignore tout, encore aujourd'hui, de l'usage de cette somme.

Eugène Deloncle est assassiné. Mais les crimes des cagoulards ne prennent pas fin pour autant, pas même avec le débarquement allié en Normandie. Le 10 juin 1944, Jean Filliol conduit la division SS Das Reich à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) où elle massacre 644 habitants dans des conditions particulièrement horribles.
Parce qu'ils le valaient bien...

À la Libération, les cagoulards de Londres sauvent les cagoulards de Vichy. Grâce au témoignage d'André Bettencourt et de François Mitterrand, Eugène Schueller est relaxé au motif qu'il aurait aussi été résistant. L'Oréal devient le refuge des vieux amis. François Mitterand est engagé comme directeur du magazine Votre Beauté. André Bettencourt rejoint la direction du groupe. Avec l'aide de l'Opus Dei, une confrérie catholique franquiste, Henri Deloncle (frère d'Eugène) développe L'Oréal-Espagne où il emploie Jean Filliol. Quant à Jacques Corrèze, il devient patron de l'Oréal-États-Unis. En 1950, André Bettencourt épouse Liliane, la fille unique d'Eugène Schueller.

Rue Saint-Dominique, le bureau d'André Bettencourt lorsqu'il dirigait la PropagandaStaffel, devient une résidence de l'Opus Dei. Tandis que Robert Mitterrand s'installe rue Dufrenoy dans l'immeuble qui abritera le siège de l'Opus en France. Cette œuvre est politiquement dirigée par Jean Ousset.

André Bettencourt a poursuivi une brillante carrière. Journaliste, il a créé en 1945 le Journal agricole, pour les anciens lecteurs de La Terre française. Sa carrière politique l'a conduit plusieurs fois au Parlement et au Gouvernement. Il a ainsi pu renouer avec ses activités passées en devenant secrétaire d'État à l'Information (1954-55), poste créé par son ami François Mitterrand, en 1948, et où ils auront tous deux forgé la presse française contemporaine. Les deux hommes sont inséparables, au point qu'en 1986 lorsque Mitterrand devenu socialiste et président de la République doit cohabiter avec une Assemblée de droite, il hésite à choisir André Bettencourt comme Premier ministre. Mais craignant le retour des fantômes du passé, il s'abstient. Cependant, ce passé reste présent.

Text provenent de http://www.voltairenet.org

Thierry Meyssan
Journaliste et écrivain, président du Réseau Voltaire.